
Ce mois-ci dans la radio des tas, on parle de France Travail.
Dans l’édito, Cécile nous parle de Betharram, de déportations d’enfants hérités des pratiques coloniales, et de l’aide sociale à l’enfance.
On écoute Gérard de la Tablée au micro de Christophe, qui nous raconte sa situation au RSA
Aurélie nous parle de la loi « plein emploi » ou la chasse aux pauvres continue.
On vous lit quelques extraits des informations légales envoyées par France Travail à Gérard.
Le rébus sonore ! Envoyez votre réponse à :
La radio des tas (le jeu)
Radio Campus Clermont
22 bis impasse Bonnabaud
63000 Clermont-Ferrand


Félix Tréguer de la quadrature du net nous parle des outil de contrôle algorithmique que déploie France Travail pour intensifier ses pratiques de flicage des plus précaires. On peut lire avec intérêt l’article À France Travail, l’essor du contrôle algorithmique sur le site de l’association. Pendant l’interview, Félix a parlé du collectif « Stop Contrôles », que l’on peut contacter à l’adresse stop.controles@protonmail.com pour partager des récits ou des problématiques actuelles face au contrôles de la CAF ou de France Travail, mais également pour trouver des manières collectives de s’y opposer.
À la fin de l’interview, nous avons abordé avec Félix une actualité très préoccupante pour les libertés individuelles, la loi de surveillance en train de passer au parlement. Il vous invite à lire l’article Contre la loi surveillance et narcotraficotage, où vous pourrez là aussi trouver des moyens d’action, ainsi que le tout dernier article de l’association sur cette loi: Loi « Narcotraficotage » : la mobilisation paye alors ne lâchons rien.
Un flash spécial vient interrompre l’émission

Dans l’étagère que dalle, Jean-Marie évoque le Radio Show, Minuit décousu ou encore le code a changé, quelques-unes des émissions produites en France. Puis il parle de deux émissions québécoises qui font du bien aux oreilles : les pires moments de l’histoire de Charles Beauchesne, et une invention sans avenir, un programme qui s’autodéfinit comme « un podcast moderne et très politique sur le cinéma ».
On termine avec une archive, le témoignage de Léon, qui a passé 40 ans au bagne.